A mes amis de Planegg, une pensée toute particulière en ces temps difficiles, mais pas insurmontables.
En cette dure période pour nous tous, je pense surtout aux personnes seules, à nos aînés, à ceux qui se mettent en danger pour nous aider, soigner et accompagner, aux personnes touchées par quelques malheurs. La solidarité en ces temps pénibles, prend toute ses lettres de noblesse.
Un grand merci à tous ceux qui œuvrent pour notre bien-être.
Mais, malgré cette saleté de COVID-19, la nature est là pour nous redonner du moral.
Le printemps n’a que faire de ce virus, les jardins fleurissent, les arbres se parent de couleurs splendides, le chant des oiseaux nous enchante dès le lever du soleil, les papillons et les abeilles envahissent nos campagnes, les étoiles brillent de leurs milles feux dans un ciel sans pollution et sans nuages artificiels d’avions. Dans les mers et océans les cétacés et autres habitants des mers retrouvent une liberté souvent mise en péril par l’être humain.
Après cette pénible épreuve et quand viendra le déconfinement, la vie sera différente, car nous aurons pris conscience de nos erreurs et notre égoïsme, de croire que l’homme peut tout se permettre.
Mes chers amis de Planegg, quand viendra cette libération de circuler et de pouvoir se rencontrer, j’aurais un immense plaisir de venir dans cette belle commune de Bavière, où vous m’avait nommé, ainsi que Mireille, mon épouse, citoyen de Planegg. J’attends ce moment avec impatience, pour revoir des amis de plus de trois décennies.